Mardi 3 Mai 2022 , Sud Olbia (Capo Coda Cavallo) destination Ponza (comme la pyramide de Ponzi mais sans le i et sans la pyramide) .
Départ vers 10 h00 après une nuit par mer ultra plate , réveil toujours seuls au monde .
Plein 90 degrés , vent : 0,7 nœuds (ah ça décoiffe, really !!!) . Donc nous sollicitons un fois de plus le japonais de service . 150 miles en perspective donc pour les très forts en Math : 150 miles à 5 nœuds , égale ? : 30 heures de nav en perspective non stop (ben non ! y’a pas d’île entre les 2, histoire de se reposer les oreilles) . Qui c’est qui va s’y recoller pour des quarts de nuit ? Pouf Pique Nique Douille c’est eux l’andouille ! Pas un pet de vent, la mer est d’un calme laquéen (je fais comme Ségolène j’invente des mots, mais n’y voyez pas un virage de cuti quand même, Maurice t’ezazère ! ) ; pas une âme qui vive, pas un bateau qui flotte, pas un animal qui nage, pas une méduse à fustiger de notre courroux. Le monde existe-t-il encore ? le Covid a-t-il décimé le monde entier depuis notre départ pas si lointain que cela ? Poutine a-t-il déjà annihilé le monde ? Et si Waterworld existait vraiment (mince j’aurais alors dû charger plus de Ricard !) ? Pas de réseau Of course, il ne manquerait plus que cela, pas même une onde italienne, et Dieu sait si les italiens sont accro à leur téléphone ! Les sanglots longs de la mer bercent mon cœur …vous connaissez la suite . Lecture on board , quoi d’autre ?
Je confirme pour les Italiens 😮💨 ihihi
Bisous de nous 3
Bonsoir,
A Quiberon en ce moment nous prenons connaissance de vos premières journées à bord. Yan a mar, est bien pratique même si bruyant. Je ne doute pas que vous vous êtes baignés aux étapes