Samedi 15 Juin 2024
Nous louons une voiture pour la journée avec Mahoa pour nous rendre à la ville de l’autre côté du pont.
Ce n’est qu’une longue rue remplie de petits commerces ayant pour toits des sortes de garage sans fenêtres ni vitrines, fermés par des rideaux de garage. On y trouve absolument de tout, de la quincaillerie, du matériel électrique, des bouts et articles pour pêcheurs, des fruits et légumes, des vêtements, des chaussures, des articles pour téléphones portables. Les magasins regorgent de produits.
La rue grouille joyeusement. Il y a énormément de circulation, des tchouk tchouk, des motos, des camions, beaucoup de bruit aussi . L’impression générale est très colorée avec ces femmes ressemblant à des incas, des mayas, de péruviennes, des équatoriennes, bref des indigènes d’Amérique Latine avec leurs jupes amples et leurs caracos. Les hamacs et même les sacs vendus pour les courses sont hauts en couleur.
C’est franchement dépaysant et sympa et même s’il y a des vigiles armés dans certains magasins, à aucun moment nous ne sommes sentis en insécurité.
Une très très belle découverte à des années lumière de la tristesse de Cuba et de l’impression de crasse et de pauvreté de la République Dominicaine !
Retour en fin d ‘après midi au bateau après quelques emplettes alimentaires de fruits et légumes dans la rue et au supermarché Torre qui sera une vraie mine pour notre réapprovisionnement lors de notre retour.
Nous avons trouvé un ventilateur sur pied en 220 volts mais en 60 hz qui devrait cependant marcher.
La pluie commence à tomber drue.
Nous sommes épuisés.
Ce soir chacun chez soi, et bonne nouvelle notre clim’ peut marcher branchée à quai même en 60 hz !
