Mercredi 20 Juillet 2022
Retour au moteur vers le mouillage au pied de la vieille citadelle de Corfou.
Programme super alléchant : ménage et lessive . Chaleur d’enfer ! sympa pour briquer en intérieur sans clim’, et sans ventilation (l’eau ruisselle du lavage du pont supérieur donc hublots fermés) mais compensation le linge sèche vite, ah ! ben chouette alors ! je suis une ménagère vernie pourquoi me plaindre alors que je rêve de pouvoir étendre mon linge au vent toute l’année.
Repérage des lieux possibles de prise ne charge des invités de demain pour arrivée spectaculaire à bord de Ile de Rey en tender to.
Ils auront le choix entre 850 mètres à pied de l’aéroport ou 2 km en taxi . Ils ont choisi de faire du sport : le taxi ! (je commence à balancer, ils y passent tous, nul n’y échappera )
En compensation de cet effort ménager qui fait gonfler les veines des tempes, suer à grosses gouttes et vous donne envie de passer 10 jours dans un congélateur, en vous promettant de n’habiter qu’à la montagne toute l’année face aux neiges éternelles, et tant pis s’il y a du brouillard, de la pluie ou de la neige, pourvu qu’il y ait un âtre chaleureux devant lequel scintilleront de Mille feux les yeux du bien être.
Donc en compensation de cet effort, j’ai amené, sans aucune finesse, vous me connaissez maintenant, le capitaine à m’offrir un dîner de poisson dont je rêvais, sans que j’ai à le pêcher, le vider, le cuisiner et laver l’assiette. Restaurant un peu cher mais très bon à Corfou (le Fishalida), ce n’est pas une gargotte pour le premier touriste venu poisson, pizza, couscous, hamburger et paella en 150 langues.
Nous nous sommes partagés un bar grillé de 1,3 kg suivi d’une tarte au citron. Le tout arrosé d’un vin blanc grec. Délicieux.
Seul bémol, il n’était pas prévu que nous invitions aussi à diner les moustiques qui se sont régalés de ma partie fessue je ne sais comment (j’vous jur’ m‘dam’qu’ j’avais une culotte !) : moustiques :10 / moi : zéro