Twin Cay – Garbutt Cay, iles du Bélize

Dimanche 5 Janvier 2025  

Le temps est gris à nouveau. La température de 28 degrés et l’humidité de 75%. Moteur, vent frais, voire très frais, dans le nez as usual.

Nous nous arrêtons dans un spot dit remarquable de snorkeling près de la barrière de Corail face à une île Southwater Caye et un resort Pelican Beach qui ne manque ni de cabanes ni de club de plongée. Nous sommes loin de l’île de Crusoé. La mer est assez polluée de plastiques, mais aussi de sargassses (le retour ! – cela faisait bien longtemps que nous en étions privés),  les petits bateaux moteur se laissent dériver en attendant que les snorkelers remontent de leur sortie matinée aventure 100 dollars 1 coca compris, vous connaissez maintenant la chanson …. Jacques a dit ……

Malgré le ciel plombé nous nous décidons à aller nous aussi découvrir ce spot. Quelle déception, le ciel gris nous prive des couleurs, la barrière nous oppose un courant contre lequel il faut pédaler d’arrache palmes , les poissons sont très discrets. La mer pas spécialement chaude est très chahutée du fait de l’Océan qui vient se casser sur la barrière et provoque des remous et du courant. On a connu beaucoup mieux. Nous rentrons il ne fait pas vraiment chaud et les grains nous menacent.

Après le déjeuner nous reprenons le chemin du Nord pour nous arrêter à Garbutt Cay, entre deux petits ilets comme il y en a tant : petits, mangrove basse, 6 à 9  mètres de fonds, eaux vert/bleu, une cabane minimum, des chiens qui aboient pour gardienner la crotte – la législation bélizienne attribue peut être la propriété à qui met une cabane sur une île ?- personne au mouillage, pas vraiment grand monde sur l’eau, peu de flotte locative de catamarans ou de voiliers au Bélize, des îlets et encore des îlets sous tous les angles du regard, plus ou moins grands, plus ou moins cabanés,  au COS plus ou moins utilisé à 100%.

Le Bélize cela doit être joli sous le soleil ! mais les eaux à ce stade de notre périple ne semblent pas être à la hauteur des Maldives ou de la Polynésie – pas d’atoll avec lagon de carte postale – et les infrastructures hôtelières non plus, même si elles ne manquent surtout pas.

Le vent vient de tomber , les eaux sont calmes, la caravane a dû passer car le chien n’aboie plus, zénitude et sargasses.

 

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