Lundi 2 Mai 2022
Nous quittâmes Spérone sur le coup des 8h30 après une nuit très calme , seuls au monde, le mouillage de Spérone comme vous ne l’avez jamais vu ! Pas une âme en vue. Génial ! Au passage, je voudrais déposer une réclamation auprès des autorités : La Corse même Sud est encore rattachée à la France que je sache, alors messieurs les ignares d’opérateurs téléphoniques, sachez qu’il est très désagréable de constater que Spérone est pour vous en Italie et qu’en appelant un N°de fixe commençant par 049 , on tombe sur un N° en Italie et non sur le shipchandler de Bonifacio situé à 30 mn de là. Qu’importe ce n’est pas. cela qui allait nous arrêter . N ‘écoutant que notre courage nous partîmes vers Bonifacio afin d’acheter la drisse de Grand Voile qui devait sauver notre voyage . Appontement réussi sous calme plat, traversée en Zodiac du chenal pour se rendre au ship, petit exercice de singe pour Stéphane dans la mâture pour l’installer (enfin presque : montée en harnais, à la plus grande satisfaction des promène-couillons prenant force photos du postérieur de mon époux se balançant avantageusement en tête de mât). Puis départ vers la Sardaigne avec déjeuner en mer et arrivée sur le coup des 20 heures sur une plage (musique – « sur la plage abandonnée »- fin de musique » ; félicitations à ceux qui auront reconnu …. ils ont au moins 60 ans … ouaf ! ouaf !) . Le tout « sous le soleil exactement » (toujours quizz café pour les plus de 60 ans) , mais zéro vent (donc le japonais à l’oeuvre – les moteurs sont de Yanmar , donc vous voyez le rapport – non? bon! je ne peux rien pour vous alors! …… et les costumes de Donald Cardwell) – et frisquet . Sommes passés par le labyrinthe des Iles de la Magdalena, absolument superbe. Pas ou peu de traffic sur l’eau à part les inévitables ferries d’île Corse en îles sardes. De nouveau une plage seuls au monde, pas une âme en vue , how romantic !