Dimanche 15 Mai 2022
9h00 de nav’ au moteur (vend voiles neuves n’ayant jamais servi )
Il est 6h00, conditionnée comme Pavlov (le chien ! vous vous souvenez de vos cours de science naturelle ou de sociologie ? je ne sais plus dans quelle niche il rentrait celui- là – La pyramide de Maslow ? Pas celle de Gizeh, ça, j’en suis sûre ), je me réveille toute seule et me lève comme un ressort proposant de partir tout de suite et ainsi arriver plus tôt au mouillage qui nous attend.
Aucune voile croisée (normal pas de vent) mais aucun bateau non plus alors que nous sommes Dimanche – il n’y a rien à voir, d’où CQFD, de la conséquence à la cause ). La côte a disparu au loin depuis longtemps. Je peux hurler et chanter faux à pleins poumons aux quatre sans vents, il n’y a que Monsieur qui puisse trouver à redire, alors je m’en donne à cœur joie.
A 15H30 nous ancrons dans ce que l’on peut assimiler à un paradis avec tout ce que nous avons vu jusqu’à présent : du vert, du bleu, personne, une crique comme on en connait en Corse, aucune construction hideuse et aucune construction tout court . Pas de mer de travers. Le pied, the foot, el pié, quoi ! Hourrah !
Lecture cool sur le roof top , bientôt apéro au soleil couchant (envoyez les violons), que vais-je faire à dîner ?