Vendredi 16 Février 2024
Il faut s’attaquer d’urgence au problème de la machine à laver car je me vois mal passer les 4 prochains mois à faire les lessives à la main ; les îles désertes des Bahamas et Le Sud de Cuba n’étant pas réputés pour leurs laveries sans compter miasmes et mycoses en tous genres….. Stéphane et Berndt passent 5 heures à suer (au sens propre comme au figuré) pour trouver la panne, allant jusqu’à sortir la machine de son placard en bas de escaliers pour la remonter dans le carré extérieur. Ils démontent tout ce qui est possible de démonter, font tous les tests possibles et inimaginables guidés par un copain allemand de Berndt réparateur électroménager qui est au téléphone depuis l’Allemagne. Rien, nib de nib, que dalle de chez que dalle, peau de balle et balai de crin. C’est incompréhensible.
Pause déjeuner à l’Océan où Tina et votre sevitrice (teuse) se prélassent à la piscine.
Et les voilà repartis à la chasse à l’erreur E18 avec toutefois un indice de plus, en discutant à table, et en réunissant nos QI, il s’avère que la machine s’est mise en erreur en plein milieu d’un cycle la seule fois où elle a été branchée sur l’électricité du quai . Pourtant les marineros nous ont affirmé que nous avions bien du 220 Volts en 50 Htz. La veille ma yaourtière montrait aussi des signes de faiblesse mais nous avons cru que Nelson nous avait aspergé d’eau la prise . Se pourrait-il que ce soit l’alimentation du quai ? …….Les filles restent à la piscine, les garçons retournent au charbon et nous les voyons revenir 30 minutes plus tard …. hilares ……la machine est redescendue dans sa niche et elle marche !!! 220 volts OUI ! 50 HTZ NON ! le quai est en 60 Htz. Tout ça pour ça ! Arghhh ! Schrogneugneu e Schrogneugneu ! GRRRRRR ! Nous finissons tous dans la piscine à regarder la mer tout en sirotant qui un Mojito qui une Pina Coloda puis nous enchainons sur une pizza laquelle cette fois est nullisime.
Après réflexion, avec 700 dollars par mois pour les frais de copropriété et une maintenance des lieux laissant nettement à désirer : carrelages et travertin qui ont sauté qui ne sont pas refaits, robinetterie bringuebalante dans les sanitaires des restaurants ou de la piscine, rampe de sortie de la piscine descellée, absence totale de management et de managers, et tout ce que nous n’avons pas encore vu, nous pensons qu’un investissement pour notre avenir dans ce complexe serait pure folie, malgré les villa prometteuses. Nous ne donnons pas cher de la pérennité de cet ensemble à moyen terme. Puerto Bahia ne sera donc pas notre future home sweet home. Retour sur une réflexion Antiguaïenne. Et pourquoi pas le Maryland aux USA ? …….


