Avant Port de San Juan, Porto Rico

Vendredi 9 Février 2024

Hier soir diner au resto avec Tina et Berndt dans un italien. Il n’y avait que des plats de pâtes. C’était pas bon, pas chaud, mal servi. La serveuse te récite 2 fois sans conviction et sans articuler son baratin à toute vitesse (pour te dire en plus où se trouvent les toilettes !) et elle ose te dire « quoi ! vous n’avez pas compris ! » quand tu lui demandes te répéter en articulant doucement .  Elle met la table en te tendant ton assiette vide et tes couverts ! et quand on t’apporte l’addition le saladier (d’avant les pâtes) est toujours là avec tes assiettes sales au milieu de ta tasse de café. Personne ne débarrasse !. Il y a des claques qui se perdent !

Sinon journée à bord sans bouger, le soleil est revenu mais rien à faire. C’est très bruyant, je dirais même plus c’est très très bruyant, voire c’est assourdissant, insoutenable, entre les poussées des petits jets, des bi moteurs des hélicoptères, des jets skis à toute vitesse, des remorqueurs de barges, des klaxons des gros camions américains rutilants comme dans les films, des annonces des croisiéristes, et je dois encore en oublier. Sans mentir nous sommes régulièrement obligés de nous arrêter de parler car on ne s’entend absolument pas ! Mais la houle est toujours là menaçante à l’extérieur et nous sommes scotchés là.

Bref : une journée pour rien.

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